Après le décevant match nul contre le Stade Tunisien à Sousse, la frustration des supporters sahéliens a atteint le sommet. L’équipe peine à trouver une identité de jeu après 5 mois, laissant les joueurs désemparés et les tactiques perplexes.
La perplexité grandit avec le recrutement discutable de Bongonga, dont le salaire de 9 000 USD par mois ne justifie pas ses performances, fort heureusement, son départ est prévu en juin 2024. Ibdelli et Chamakhi, avec des salaires cumulés de 80 000 DT, se distinguent par leur absence devant les buts.
La direction du club reste muette face aux lacunes persistantes et à la crise financière, marquée par des salaires impayés et un stade non homologué. Sur le terrain, les attaquants restent muets, les joueurs stagnent, pointant du doigt un manque d’effort à l’entraînement.
Malgré des jeunes talentueux, l’Étoile nécessite un coach de qualité, préservé de toute ingérence. Les deux prochains matchs cruciaux accentuent la pression sur Imed Ben Younes, avec des supporters appelant à son départ même en cas de victoire.
La question persistante demeure : pourquoi le président Othman Jneyah garde-t-il le silence face à une réalité inquiétante? L’absence de ressources financières ne saurait expliquer complètement la situation. Les supporters réclament des réponses et une évaluation du travail du coach pour aborder les défis à venir en Ligue des champions un match a Luanda contre le club petro et un match decisif contre l’espérance à Tunis.uver une identité de jeu après
Crise à l’Étoile : Les jours d’Imed Ben Younes sont-ils comptés?
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