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Punaises de lit / France : Les écoles ferment les unes après les autres !

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Les punaises de lit, un fléau de longue date, font actuellement l’objet d’une attention croissante en France, suscitant des préoccupations au sein du gouvernement et de la société. La fermeture d’établissements scolaires et les signalements de nuisances dans les transports en commun et les cinémas ont poussé divers groupes politiques à mettre la pression sur le gouvernement français.

Pour répondre à cette inquiétude grandissante, le ministre des Transports français, Clément Beaune, a convoqué une réunion mercredi avec les principaux acteurs des transports et les associations d’usagers pour discuter de ce problème sensible.

Au cours des dernières semaines, des signalements de punaises de lit ont été faits dans des cinémas, des TGV, le métro parisien et la zone d’attente de l’aéroport de Roissy. Cependant, tous ces cas ne sont pas encore confirmés.

Le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, a annoncé mardi soir sur RTL qu’une réunion interministérielle aura lieu vendredi pour évaluer l’ensemble des compétences gouvernementales liées à la question des punaises de lit. Il s’est engagé à fournir rapidement des réponses aux préoccupations des citoyens.

Actuellement, au moins deux établissements scolaires, situés à Marseille et à Villefranche-sur-Saône (Rhône), ont été touchés par des punaises de lit, entraînant leur fermeture temporaire pour des opérations de traitement.

À Marseille, un collège proche du centre-ville a suspendu ses activités lundi, selon le conseil départemental. Il devrait rouvrir le 9 octobre après avoir procédé au nettoyage et à l’aération des salles de classe ainsi que du gymnase attenant. Pendant cette période, les cours seront dispensés à distance.

À Villefranche-sur-Saône, au nord de Lyon, une école primaire a été fermée pour la deuxième fois depuis la rentrée scolaire après la réapparition de punaises de lit. Un premier traitement, notamment une vaporisation thermique à 90 degrés, avait été réalisé pour permettre l’ouverture des classes à la rentrée. La municipalité avait alors vérifié, avec l’aide d’un chien renifleur, que les nuisibles avaient bien été éradiqués.

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