Selon Chafik Hajji, l’ambassadeur tunisien à Khartoum, les Tunisiens qui vivent au Soudan ne sont pas touchés par les violences récentes qui ont frappé le pays.
Cependant, les conditions de vie sont devenues plus difficiles avec les pénuries d’eau, d’électricité et d’internet et la perturbation des services publics. Environ 120 Tunisiens, dont des hauts cadres d’organisations internationales, sont actuellement enregistrés comme résidents au Soudan.
Hajji a appelé les membres de la communauté tunisienne à la prudence et à la vigilance face à la situation, tout en notant que les ressortissants tunisiens ne peuvent pas être évacués pour le moment en raison de la fermeture des frontières et de l’aéroport international de Khartoum.