Sept créateurs et créatrices de contenu comparaissent ce mercredi devant la chambre criminelle de la cour d’appel de Tunis pour contester les verdicts rendus en première instance à leur encontre.
Ces influenceurs, poursuivis par le ministère public du tribunal de première instance de Tunis, font face à des accusations graves, notamment outrage public à la pudeur, harcèlement indécent, incitation publique à la débauche, ainsi qu’atteinte aux bonnes mœurs et à l’ordre public.
En première instance, la chambre criminelle avait prononcé des peines de prison pouvant aller jusqu’à cinq ans contre les accusés.