Le parquet de Paris a ouvert un procès contre dix personnes accusées d’avoir harcelé en ligne Brigitte Macron, l’épouse du président français. Les prévenus, huit hommes et deux femmes, auraient diffusé sur les réseaux sociaux des messages malveillants et des rumeurs portant sur son identité et sa relation avec Emmanuel Macron.
Parmi eux figurent des figures complotistes connues comme Zoé Sagan et Amandine Roy, déjà impliquées dans la diffusion de fausses informations. Selon la justice, ces attaques ont gravement porté atteinte à la dignité de la Première dame.
Les accusés risquent jusqu’à deux ans de prison. Ce procès marque une étape importante dans la lutte contre le cyber-harcèlement et la désinformation visant les personnalités publiques.
